Transformer des défis en victoires
Un sondage écrasant ? Un rapport de force perdu d’avance ?
Chez Impakt Nexus, nous voyons dans chaque défi l’opportunité de bâtir une victoire. Découvrez comment.
Contexte
Le 7 mars 2021, les Suissesses et Suisses votaient sur l’accord de libre-échange avec l’Indonésie. Le débat avait viré au champ de bataille symbolique autour de l’huile de palme — déforestation, normes sociales peu fiables, discours moralisants. Le défi ? Faire entendre une voix équilibrée face à une coalition opposante bien organisée, forte de campagnes environnementales passées, notamment sur les multinationales responsables. Il fallait rétablir la nuance, vulgariser le texte et reconnecter le débat à des enjeux concrets de durabilité et commerce équitable.  
Actions
- Rééquilibrer le récit : reprendre la main sur le storytelling en montrant que l’accord garantissait uniquement l’importation d’huile de palme durable, traçable et conforme aux standards suisses (RSPO), et que boycotter n’aurait eu aucun effet écologique. 
- Vulgariser intelligemment : décomposer les mécanismes complexes du libre-échange en langage clair, accessible à toutes et tous, sans jargon.
- Intervenir dans l’espace public : participer à des débats radiophoniques — notamment sur RTS — pour incarner le camp du « oui » de manière crédible et humaine.
- Mobiliser les chiffres et la diplomatie : rappeler que les volumes d’huile de palme importés étaient minimes, tout en soulignant l’importance d’un accord équilibré pour accélérer l’adoption de normes durables.
Résultats
L’accord passe avec une majorité serrée : 51,6 % de OUI. Une victoire fragile, mais décisive. Elle prouve que la voix de la nuance et de la pédagogie peut triompher, même face à un discours émotionnel dominant.
Ce qu’on en retient
Dans un débat polarisé, réinjecter de la nuance n’est pas une faiblesse — c’est une force. Faire dialoguer émotions, faits et clarté narrative, voilà ce qui transforme la complexité en conviction.
Le 7 mars 2021, les Suissesses et Suisses votaient sur l’accord de libre-échange avec l’Indonésie. Le débat avait viré au champ de bataille symbolique autour de l’huile de palme — déforestation, normes sociales peu fiables, discours moralisants. Le défi ? Faire entendre une voix équilibrée face à une coalition opposante bien organisée, forte de campagnes environnementales passées, notamment sur les multinationales responsables. Il fallait rétablir la nuance, vulgariser le texte et reconnecter le débat à des enjeux concrets de durabilité et commerce équitable.  
Actions
- Rééquilibrer le récit : reprendre la main sur le storytelling en montrant que l’accord garantissait uniquement l’importation d’huile de palme durable, traçable et conforme aux standards suisses (RSPO), et que boycotter n’aurait eu aucun effet écologique. 
- Vulgariser intelligemment : décomposer les mécanismes complexes du libre-échange en langage clair, accessible à toutes et tous, sans jargon.
- Intervenir dans l’espace public : participer à des débats radiophoniques — notamment sur RTS — pour incarner le camp du « oui » de manière crédible et humaine.
- Mobiliser les chiffres et la diplomatie : rappeler que les volumes d’huile de palme importés étaient minimes, tout en soulignant l’importance d’un accord équilibré pour accélérer l’adoption de normes durables.
Résultats
L’accord passe avec une majorité serrée : 51,6 % de OUI. Une victoire fragile, mais décisive. Elle prouve que la voix de la nuance et de la pédagogie peut triompher, même face à un discours émotionnel dominant.
Ce qu’on en retient
Dans un débat polarisé, réinjecter de la nuance n’est pas une faiblesse — c’est une force. Faire dialoguer émotions, faits et clarté narrative, voilà ce qui transforme la complexité en conviction.
Contexte
Printemps 2014. Un sondage confidentiel affole tout le monde : 72% de soutien à l’initiative populaire visant à introduire un salaire minimum fédéral. La partie semble jouée d’avance, les initiants exultent, et les milieux économiques se préparent à encaisser une défaite historique.
À ce moment-là, Carmelo Laganà – aujourd’hui fondateur d’Impakt Nexus – dirige la campagne romande pour le compte d’economiesuisse, la faîtière des entreprises suisses.
Actions
En seulement douze semaines, une stratégie ciblée et créative est déployée :
- Reformuler le débat : passer d’une opposition idéologique à un enjeu concret de compétitivité et d’emplois.
- Mobiliser au-delà des patrons : donner la parole aux PME, indépendants, apprentis et jeunes actifs, pour incarner la diversité des réalités.
- Raconter des histoires vraies : ramener la discussion du terrain des grands principes à celui du quotidien – salaires, pouvoir d’achat, sécurité de l’emploi.
Résultats
Le 18 mai 2014, c’est un retournement spectaculaire : 76,3% de NON dans les urnes.
Un écart de près de 50 points avec le premier sondage, qui restera comme l’un des plus grands renversements de dynamique politique en Suisse récente.
Ce qu’on en retient
Avec la bonne stratégie, aucune tendance n’est irréversible.
Même un sondage écrasant peut devenir un tremplin. Cette expérience est devenue un cas d’école et un pilier de l’approche Impakt Nexus : transformer des rapports de force défavorables en victoires décisives.
Pont avec aujourd’hui
Alors que de nouvelles votations sur le salaire minimum se profilent dans plusieurs cantons romands, cette campagne de 2014 reste d’une actualité brûlante. Elle prouve qu’un récit bien construit, porté par les bons acteurs, peut changer le cours d’une bataille politique.
Printemps 2014. Un sondage confidentiel affole tout le monde : 72% de soutien à l’initiative populaire visant à introduire un salaire minimum fédéral. La partie semble jouée d’avance, les initiants exultent, et les milieux économiques se préparent à encaisser une défaite historique.
À ce moment-là, Carmelo Laganà – aujourd’hui fondateur d’Impakt Nexus – dirige la campagne romande pour le compte d’economiesuisse, la faîtière des entreprises suisses.
Actions
En seulement douze semaines, une stratégie ciblée et créative est déployée :
- Reformuler le débat : passer d’une opposition idéologique à un enjeu concret de compétitivité et d’emplois.
- Mobiliser au-delà des patrons : donner la parole aux PME, indépendants, apprentis et jeunes actifs, pour incarner la diversité des réalités.
- Raconter des histoires vraies : ramener la discussion du terrain des grands principes à celui du quotidien – salaires, pouvoir d’achat, sécurité de l’emploi.
Résultats
Le 18 mai 2014, c’est un retournement spectaculaire : 76,3% de NON dans les urnes.
Un écart de près de 50 points avec le premier sondage, qui restera comme l’un des plus grands renversements de dynamique politique en Suisse récente.
Ce qu’on en retient
Avec la bonne stratégie, aucune tendance n’est irréversible.
Même un sondage écrasant peut devenir un tremplin. Cette expérience est devenue un cas d’école et un pilier de l’approche Impakt Nexus : transformer des rapports de force défavorables en victoires décisives.
Pont avec aujourd’hui
Alors que de nouvelles votations sur le salaire minimum se profilent dans plusieurs cantons romands, cette campagne de 2014 reste d’une actualité brûlante. Elle prouve qu’un récit bien construit, porté par les bons acteurs, peut changer le cours d’une bataille politique.
Contexte
En 2012, une anomalie réglementaire gênait le secteur : les shops des stations-service ne pouvaient vendre que du carburant et certains produits comme café ou sandwichs entre 1 h et 5 h du matin, tandis que le reste de l’assortiment restait interdit à la vente. Une absurdité : le personnel étant déjà présent, pourquoi refuser la commercialisation d’articles essentiels à ces horaires ? economiesuisse a identifié cette aberration, porté la cause auprès de la classe politique et plaidé pour une mise à jour de la législation. Un lobbying stratégique, ciblé — mais pas sournois. 
Actions
- Choisir le bon angle : présenter la libéralisation comme un allègement bureaucratique logique, concrètement utile pour les consommateurs et les exploitants.
- Engager intelligemment : dialogues avec parties prenantes (exploitants, parlementaires), communication claire sur les avantages concrets (renforcement de la place économique suisse).
- Prévenir les ripostes : alors que les syndicats menaçaient un référendum, economiesuisse proposa une convention collective de travail pour apaiser les tensions .
- Communiquer dans le bon tempo : communiqué et argumentaire public diffusés au moment charnière du vote parlementaire, pour influencer l’opinion avant la décision finale.
Résultats
Le Parlement adopte massivement la libéralisation : désormais, les shops de stations-service peuvent vendre l’intégralité de leur assortiment 24 h/24, sans autorisation spéciale pour les heures de nuit. Une vraie victoire pour une mesure à la fois pragmatique et symbolique.
Ce qu’on en retient
Le lobbying, ce n’est pas de l’influence opaque. C’est d’abord une rationalisation stratégique, appuyée sur des faits, des dialogues intelligents et une anticipation des blocages potentiels. Ici, marrer le débat idéologique pour le recentrer sur le quotidien — et faire passer la loi. Une recette Impakt Nexus avant même son existence.
En 2012, une anomalie réglementaire gênait le secteur : les shops des stations-service ne pouvaient vendre que du carburant et certains produits comme café ou sandwichs entre 1 h et 5 h du matin, tandis que le reste de l’assortiment restait interdit à la vente. Une absurdité : le personnel étant déjà présent, pourquoi refuser la commercialisation d’articles essentiels à ces horaires ? economiesuisse a identifié cette aberration, porté la cause auprès de la classe politique et plaidé pour une mise à jour de la législation. Un lobbying stratégique, ciblé — mais pas sournois. 
Actions
- Choisir le bon angle : présenter la libéralisation comme un allègement bureaucratique logique, concrètement utile pour les consommateurs et les exploitants.
- Engager intelligemment : dialogues avec parties prenantes (exploitants, parlementaires), communication claire sur les avantages concrets (renforcement de la place économique suisse).
- Prévenir les ripostes : alors que les syndicats menaçaient un référendum, economiesuisse proposa une convention collective de travail pour apaiser les tensions .
- Communiquer dans le bon tempo : communiqué et argumentaire public diffusés au moment charnière du vote parlementaire, pour influencer l’opinion avant la décision finale.
Résultats
Le Parlement adopte massivement la libéralisation : désormais, les shops de stations-service peuvent vendre l’intégralité de leur assortiment 24 h/24, sans autorisation spéciale pour les heures de nuit. Une vraie victoire pour une mesure à la fois pragmatique et symbolique.
Ce qu’on en retient
Le lobbying, ce n’est pas de l’influence opaque. C’est d’abord une rationalisation stratégique, appuyée sur des faits, des dialogues intelligents et une anticipation des blocages potentiels. Ici, marrer le débat idéologique pour le recentrer sur le quotidien — et faire passer la loi. Une recette Impakt Nexus avant même son existence.
Contexte
Dans la vie politique, il est des moments où chaque mot compte. Un discours ne se résume pas à un texte : c’est un instrument de pouvoir, une scène où s’expriment convictions, stratégie et vision. Derrière ces moments, il y a souvent un travail de l’ombre : celui de rédiger des
Actions
- Écouter pour incarner : comprendre la voix et le style de l’orateur — qu’il soit membre d’un exécutif ou parlementaire.
- Structurer pour convaincre : transformer des arguments techniques en messages clairs, accessibles et percutants.
- Jouer sur les registres : alterner le factuel, l’émotionnel et le symbolique selon le public et l’enjeu.
- Anticiper les réactions : chaque discours est pensé comme une pièce du rapport de force, intégrée dans la stratégie globale.
Résultats
Des interventions qui marquent. Qu’il s’agisse de défendre une politique publique, de convaincre une assemblée ou d’incarner une vision devant les citoyens, ces discours — écrits pour des élus tant à l’exécutif qu’au législatif — ont contribué à forger des moments politiques forts, alignés avec les enjeux du moment.
Ce qu’on en retient
Un discours réussi, c’est l’alchimie entre authenticité de la voix et précision stratégique du message. Écrire pour autrui, c’est disparaître derrière lui tout en faisant résonner ses idées plus fort.
Dans la vie politique, il est des moments où chaque mot compte. Un discours ne se résume pas à un texte : c’est un instrument de pouvoir, une scène où s’expriment convictions, stratégie et vision. Derrière ces moments, il y a souvent un travail de l’ombre : celui de rédiger des
Actions
- Écouter pour incarner : comprendre la voix et le style de l’orateur — qu’il soit membre d’un exécutif ou parlementaire.
- Structurer pour convaincre : transformer des arguments techniques en messages clairs, accessibles et percutants.
- Jouer sur les registres : alterner le factuel, l’émotionnel et le symbolique selon le public et l’enjeu.
- Anticiper les réactions : chaque discours est pensé comme une pièce du rapport de force, intégrée dans la stratégie globale.
Résultats
Des interventions qui marquent. Qu’il s’agisse de défendre une politique publique, de convaincre une assemblée ou d’incarner une vision devant les citoyens, ces discours — écrits pour des élus tant à l’exécutif qu’au législatif — ont contribué à forger des moments politiques forts, alignés avec les enjeux du moment.
Ce qu’on en retient
Un discours réussi, c’est l’alchimie entre authenticité de la voix et précision stratégique du message. Écrire pour autrui, c’est disparaître derrière lui tout en faisant résonner ses idées plus fort.